Milieu insertion sociale

Cerros (Caracas)
Isabel

L’amour de COMPASSION, amour samaritain est  attentif aux fossés qui bordent les chemins et où aujourd’hui comme hier on rencontre les victimes de l’injustice de la violence, de l’indifférence et de l’oubli.

C’est pour cela qu’à chaque moment de l’histoire, nous, Sœurs de la Compassion nous nous sentons appelées à reconnaître les différents visages de l’exclusion, de la vulnérabilité, de la fragilité afin d’être présentes dans ces réalités et soulager ces souffrances quelques en soient les formes et les moyens : par l’accueil, la proximité, la promotion, le soin ou le pardon, la lutte organisée avec les autres et l’accompagnement ou la dénonciation…

Aujourd’hui les sœurs cherchent à être témoins de cet amour compatissant de différentes manières et dans divers services :

  • Comme volontaires au sein d’associations, de services ou de projets diocésains, ONG :
      • Auprès des émigrés, personnes sans logement, « sans papier », personnes incarcérées, toxicomanes, porteurs du VIH.
      • Auprès des familles en situation de pauvreté et processus de réinsertion sociale.
      • Auprès de enfants de la rue, abandonnés et des enfants travailleurs, auprès des jeunes étudiants sans ressource ou des mineurs incarcérés.
      • Auprès des aînés et des personnes handicapées ou atteintes de déficiences mentales dans des établissements ou centres spécialisés.
  • A travers le développement de projets favorisant la promotion et l’inclusion : soutien scolaire pour les enfants et les jeunes, cantines, bibliothèques et petites pharmacies, campagne d’information sur la santé en zone rurale, etc.
  • En participant à des rencontres et des mouvements citoyens de lutte sociale, des initiatives populaires de formation et d’engagement, des campagnes d’information ou des programmes contre la traite des personnes, en faveur des droits de l’homme, des inégalités dans le domaine alimentaire, et la consommation équitable et autres initiatives diverses.
  • En vivant une insertion :
      • Dans des quartiers pauvres ou marginalisés, des zones de bidonvilles, dans différents pays et différentes réalités.
      • Comme pensionnaires de maisons de retraite quand l’âge et la santé nous rendent plus dépendantes.